I parta dopa il Mundial d'Argentina. Quella del 78 È forse la migliore (a livello di giaco) Italia di Bearzot. che si affida al blocco Juve. Cioè: Zoff, Gentile. Cabrini, Cuccureddu. Benetti, Scirea. Causio. lardelli. Bettega. E la sorpresa Paolo Rossi diventata, proprio in Argentina. Pablpto, I campioni bianconeri, con In scudetto sul petto, sono ancora, assieme al Torma, i favoriti. Ma lo stress posi mondiale si fa sentire: la Juve non è la salita brillante JUVE e il Tarn È frenato dagli infortuni. Scatta subito il Milan di Nils LiEdhnlm seguito dal Perugia. Un duella esaltante, i rossoneri vincono e conquistano la scudetto numera dieci, quello della stella. Ma il Perugia di Ilani) Castagner batte addirittura la Juventus a Torino, resiste e arriva seconda, staccato di sali tre punti.
Un campionato storico per una squadra in serie A da quattro stagioni: zero sconfitte, solo IE gai subiti (record) e qualificazione alla coppa Uefa. Il Milan vince e saluta il suo campionissimo; Gianni Rivera. Il golden boy lascia con lo scudetto dopo 501 partite L'ultimo emozionante flash a San Siro : I Capitano con il microfono in mezzo al campo invita i tifasi a stadio.
Il campionato da il benvenuto a Franco Baresi (splendida realtà rossonera), consacra Marca Tardelli protagonista di primo piano e applaude i magici colpi di un ragazzo di provincia: Massimo Palanca attaccante del Gatanzaro. Una stagione d'oro per il piccolo Palanca. 37 di piede, IO reti. Bruna Giardaoo vince con 19 gol la Paolo Rossi, cbe l'aveva vinta l'anno. prima precipita can il suo Lanerossi Vicenza in serie B. Retrccednna anche l'Atalanta allenata da Battista Rota e il Verona guidato prima da Mascalaita e poi da Chiappella.
Cover Scan brut :
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Meilleur Buteur Giordano:
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Le Calcio 78-79 a rendu son verdict : Milan A.C. et ses vétérans, Albertosi (40 ans) et Rivera (35 ans) est le nouveau champion d'Italie, succédant à la Juventus, et obtenant ainsi son dixième titre, Pérouse, son second, a réussi le fantastique exploit de terminer le championnat invaincu : trente mat-ches sans la moindre défaite. Un autre prix de consolation pourrait être attribué à la Juventus, favorite de la Coupe d'Italie où elle s'est qualifiée pour les demi-finales. Mais déjà, de l'autre côté des Alpes, on a rangé tous ces chiffres et ces exploits dans l'armoire aux archives, car l'Italie connaît aujourd'hui une nouvelle fièvre : celle des transferts! C'est le 11 mai dernier, en effet, que ta chasse aux vedettes a officiellement commencé. Une véritable foire aux transferts. Dans les somptueux salons de l'hôtel Michelangelo à Rome, tous les présidents de clubs se sont réunis et la « criée » a démarré. Car, en Italie, le marché des transferts ne se fait pas du tout comme en France où Ton use et abuse beaucoup du téléphone pour contacter, discuter, ou faire signer les as de l'hexagone. Non, chez nos voisins, cela se passe en « famille », dans les fauteuils d'un grand hôtel. Là, on offre du Rossi, du Causio, du Savoldi, de Antognoni. Pas du toc, tout ça !
Comme dans la plupart des cas, la barre est placée très haut, pour arriver à « faire le prix », on offre une certaine somme plus le prêt de deux ou trois jeunes joueurs du club. Libre à la partie adverse d'accepter ou de refuser. Souvent, à l'issue de discussions étonnantes, on arrive à trouver un terrain d'entente, mais on commet parfois aussi des folies. Ainsi, Lane-rossi Vicenza, par l'intermédiaire de l'estimable Dottore Farina, avait réalisé, il y a deux saisons, l'opération la plus colossale connue dans le monde du football : acheter Paolo Rossi à la Juventus pour cinq milliards et demi de lires (deux milliards et demi d'anciens francs!) Emoustillé, Vicenza et son canonnier Rossi terminèrent le Calcio 78 deuxièmes, derrière... la Juve et ont disputé cette saison la Coupe de TU.E.F.A. Et pourtant, aujourd'hui, Vicenza est relégué en deuxième division, endetté jusqu'au cou, et au bord de la faillite. Paolo Rossi, l'idole du Calcio attend. Le plus beau joyau du football italien n'a pas de souci à se faire : il changera de vitrine, et ne jouera pas en deuxième division la saison prochaine. Les plus grands clubs du Calcio ont, depuis longtemps, fait des offres à Vicenza. Certains d'entre eux, cependant, ne sont plus très chauds pour brader un lot de jeunes plus une forte somme, d'autant plus que ces jeunes devront jouer en deuxième division. Certains esprits mal tournés n'ont pas hésité à clamer que Rossi, n'ayant pu éviter à son club la descente, ne vaudrait plus aussi cher. A ces « malandrins », il signor Farina a répondu que Rossi, étant toujours l'incontestable avant-centre de la Squadra Azzurra, ceux qui voulaient Tacheter devraient y mettre le prix, un point c'est tout ! En fait, c'est le Milan A.C. qui va l'emporter. Ses dernières propositions ont, semble-t-il, recueilli toute l'attention du Dottore Farina : Rossi sera « prêté » au Milan A.C. pour un an, mais contre une somme assez rondelette (non précisée) plus l'envoi à Vicenza de plusieurs jeunes joueurs milanais, comme Minoia, Mandressi, Carotti ou Sartori, qui deviendraient la copropriété des deux clubs, comme Paolo Rossi deviendrait la copropriété de Vicenza et de Milan A.C., au bout d'un an !
A l'heure où nous écrivions ces lignes, le transfert le plus explosif du Calcio était sur le point d'être signé. Le nouveau champion a également des visées sur Antognoni, le meneur de jeu de la Fioren-tina. Milan A.C. a proposé à Florence un milliard de lires plus Novellino. Florence n'a pas encore répondu. Il discute aussi avec l'inter. Le président de la Fiorentina, Melloni, a proposé Antognoni à Tinter pour trois milliards de lires, ou bien deux milliards plus Mu-raro et Chierico, deux jeunes espoirs du club cher à Mazzola. Ce dernier trouve que cela fait un peu cher... Une autre grande vedette du Calcio, Franco Causio, a presque bouclé ses valises pour l'A.S. Roma. Il y avait entre son club, la Juventus et Causio un certain différend. Il se réglera par le départ de Franco (trente ans, mais l'un des meilleurs coups de patte du Calcio) pour Rome. L'A.S. Roma, en échange, enverra à la Juve l'un de ses meilleurs éléments : Pruzzo. La Juve avait proposé à la Lazio un échange Causio-Giordano (meilleur buteur de la saison avec dix-neuf buts). Refus catégorique : Giordano, qui, à vingt ans, est le plus bel espoir du club, restera à la Lazio. L'Inter, dans cette foire aux transferts, est assez sage, semble-t-il. Mazzola, qui devra se passer de Michel Pïatini, cherche, soit un milieu de terrain (Antognoni ou Zuccarelli), soit un arrière-buteur : Bachlechner, de Bologne, tient la corde. Chez les Nerazzurri, on a la nostalgie d'un certain Facchetti...
Enfin, Savoldi, l'un des autres monstres sacrés du Calcio, n'est pas encore fixé sur son avenir L'A.S. Roma a fait des offres à Naples, car une attaque Causio Di Bartolomi Savoldi aurait particulièrement fière allure ! Naples a payé Savoldi près de deux milliards de lires il y a quatre saisons. Elle attenc d'autres propositions. Notamment du Milan A.C. Au cas ou le « coup Rossi » échouerait Milan a fait savoir que Savold l'intéressait.
Dans ce fabuleux marché de transferts, il est évident que l'on parlera beaucoup de la venue de Rossi à Milan A.C. 1 est incontestable que Téquipi championne, avec sa pluie d'étoiles plus un joueur» « Pablito », serait redoutable la saison prochaine. Mais il faut rester prudent tant que le transfert de Rossi n'a pas eté officiellement signé. « Ave M. Farina, on ne sait jamais... », dit lui-même Paolo!
Dans ce fabuleux marché de transferts, il est évident que l'on parlera beaucoup de la venue de Rossi à Milan A.C. 1 est incontestable que Téquipi championne, avec sa pluie d'étoiles plus un joueur» « Pablito », serait redoutable la saison prochaine. Mais il faut rester prudent tant que le transfert de Rossi n'a pas eté officiellement signé. « Ave M. Farina, on ne sait jamais... », dit lui-même Paolo!